mercredi 11 novembre 2009
SARKOZY Y ETAIT !
mardi 10 novembre 2009
lundi 9 novembre 2009
"BOUCLIER ÉLECTORAL"
vendredi 6 novembre 2009
jeudi 5 novembre 2009
LIBÉRTÉ, ÉGALITÉ, DETTES OU LA FORMIDABLE HISTOIRE DU GRAND EMPRUNT
mercredi 4 novembre 2009
vendredi 23 octobre 2009
LE SACRI-FILS
mercredi 21 octobre 2009
CLEARSTREAM M'A TUER
vendredi 16 octobre 2009
LA FAMILLE !
jeudi 15 octobre 2009
TOUCHE PAS A MA TAXE PRO
Touche pas à ma tépé !
La taxe professionnelle, gentiment ramenée par « le meilleur d’entre nous » est revenue au centre des débats. M. Jupé profite du genou à terre de Sarkozy, qui plie sous le poids des affaires Mitterrand et Jean Le prince, pour assener une nouvelle attaque au chef. Il lâche la « bombe » de la taxe pro puis un « votez Jacques » discrètement en fin de phrase... {j’invente un peu la fin}
Pourquoi la taxe professionnelle est elle une « bombe » ? Premièrement, parce que personne n’y comprend rien alors on peut dire tout ce qu’on veut et affoler les foules. Deuxièmement, parce que beaucoup de députés sont maires, président d’agglomération, ou encore plein d’autres mandats, et que la taxe pro c’est pour eux et pour les collectivités locales un enjeu de taille. Du coup, il était capital pour Sarkozy de ne pas se mettre toutes les collectivités locales et les parlementaires sur le dos.
Mais quelle est donc cette réforme contre laquelle tout le monde s’insurge ? Pour comprendre il faut d’abord savoir ce qu’est la taxe pro : c’est une taxe prélevée par toutes les collectivités locales et payée par presque toutes les entreprises. Cette taxe est calculée sur les immobilisations corporelles (en français : les investissement de l’entreprise). En gros, plus j’investis plus je paye de taxe professionnelle.
Supprimer cette taxe est une des grandes lignes de la droite libérale, le but étant de relancer l’économie en favorisant l’investissement des entreprises. Alors pourquoi tout le monde se plaint ? Parce que cela change radicalement le mode de fonctionnement des collectivités. L’État, qui délègue de plus en plus ses compétences aux collectivités leur retire une forte source de revenue… cherchez l’erreur.
En conclusion, dans le principe l’idée est bonne, même très bonne, mais si on devait corriger la copie du gouvernement on y écrirait surement : « bonne idée, mais travail bâclé ».
Le gouvernement nous dit de penser sur le long terme. Cependant, si l’on pense au déficit que cela va entrainer pour les collectivités locales et pour l’État sur le long terme cela fait beaucoup beaucoup de $$$ (même si le dollar ne vaut plus grand chose aujourd’hui)…
mardi 13 octobre 2009
PROFESSION : FILS DE PRÉSIDENT.
lundi 5 octobre 2009
TOUS À VOS POSTES !
mardi 29 septembre 2009
SOLIDAYS EN SARKOZIE
Cependant, il ne s'agit plus cette fois-ci d'un ministre, mais du chef de l'Etat. Il ne s'agit pas non plus, d'un débat gauche/droite qui aurait une quelconque fin politique ou électorale. Il s'agit ici d'un manquement grave de la part du chef de l'Etat quant au principe de séparation des pouvoirs et de celui de la présomption d'innocence. Mais nous avons surtout la preuve que la solidarité ministérielle, ou devrait on dire la solidarité-de-la-majorité-présidentielle, est une solidarité aveugle et soumise. Aucun représentant politique de la majorité n'a en effet eu la sincérité suffisante pour admettre la gravité de cette erreur de langage, aussi infime soit-elle.
lundi 21 septembre 2009
CUMUL DES MANDATS : FRENCH PARADOXE ?
Le cumul des mandats c'est une réduction/suppression de la compétition électorale en amont et un absentéisme parlementaire très fort en aval, ce qui a pour effet de bouleverser l'équilibre de nos institutions. En effet si l'on résume un peu l'histoire de notre République on retiendra qu'en 1958 le général de Gaulle présente un projet de constitution qui créera ce qu'aujourd'hui nous appelons la cinquième République. Cette République est un régime tout à fait particulier puisque ce n'est, ni un régime parlementaire, ni un régime présidentiel ; c'est un régime hybride rééquilibré par le principe du parlementarisme rationalisé. Mais cet équilibre est extrêmement fragile et au fur et a mesure des années pour diverses raisons (politiques, historiques...) l'équilibre des institutions c'est dégrader et aujourd'hui le ratio entre le Président de la République et les "contre-pouvoirs" favorise largement les pouvoirs du Président.
Et puis après tout, ce que l'on veut, ce n'est pas interdire le cumul, c'est renforcer le rôle du parlement et sa valeur.